Dans le monde qui émerge, les ruptures s’affirment, qui nécessitent de drastiques et permanentes transformations. Comment les mener efficacement en laissant à l’humain la place prééminente qui lui revient ?
La période que nous traversons est marquée par une série de ruptures fortes :
- La globalisation et la mondialisation des échanges ont contribué via les moyens de communications, physiques comme électroniques, à diversifier et multiplier les acteurs économiques et à accroître significativement la compétition sur la plupart des segments d’activité.
- L’avènement du digital et le développement de la robotisation bouleversent et imposent d’autres façons de concevoir, produire, distribuer
De nouveaux métiers émergent. Un grand nombre voient leur modèle se reconfigurer, d’autres disparaitront. A terme est posée la question de la place de l’Homme dans ce nouvel environnement technique et économique, qu’il soit public ou privé.
Dans ce nouvel environnement global, de plus en plus compétitif, quelle sera la bonne configuration des entreprises privées, de la sphère publique ? Quelles transformations opérer ? Jusqu’où aller dans l’optimum compétitif ? Comment limiter les externalités négatives liées à l’activité ? Plus globalement, comment concevoir la nature, la durée et la forme de l’activité travaillée ? Avec quelles conséquences pour la dynamique d’entreprise et quelles répercussions en termes de solidarité/cohésion sociale ?
Face à ces ruptures à l’œuvre, rarement autonomes mais souvent combinées, la prise en compte du facteur humain est absolument critique.